Wednesday 23 July 2008

Backpacker

Je profite de mon « congé maladie » pour vous donner un petit aperçu de ce qu’est un « backpacker. »

Le nom backpacker est dérivé du mot backpack, littéralement, paquet sur le dos, ou plus clairement, sac à dos. Donc backpacker a désigné le voyageur se promenant avec juste un sac à dos. Puis il a été étendu aux hôtels accueillant ces derniers : les backpackers.

Un backpacker (le parles dorénavant de l’hôtel) est généralement une ancienne maison reconvertie en hôtel. On peut y louer soit des chambres ou des dortoirs. La dedans, pas de restaurant ; les voyageurs disposent d’une cuisine commune (toute équipée, lorsqu’il n’y a pas de pannes). Les douches aussi sont communes (sauf pour les rares « suites » grand luxe).

Le backpacker peut être plus ou moins luxueux ou sympathique : la gamme va du backpacker truffé aux cafards version dortoir ambiance polaire au backpacker propret et sypathosh proposant certaines animations et commodités.

Perso, j’ai opté pour la seconde version. L’original backpacker propose tous les soirs des animations (souvent des sorties dans des bars) et met à dispositions des machines à laver (moyennant rétribution), et divers autres choses (coffre fort, fer à repasser, panneaux de jobs, etc…)

Le backpacker est (pour le mien) constitué de deux population : les voyageurs (les vrais, qui ne restent la que pour une semaine max) et les sédentaires (ceux qui ont fait du bakpacker leur seconde maison, catégorie à laquelle je tends à appartenir, malgré ma réticence…). Cette seconde catégorie se connait bien (le plus ancien à 4 mois à son actif…) et forme une bonne bande de potes.

En revanche le backpacker n’est absolument pas l’endroit ou l’on rencontrera un australien. Dans ces hôtels, l’australien se fait rare. Si vous souhaitez en découvrir, fuyez ces endroits, bourrés de porteurs de passeports (en majorité français, anglais et allemands… hé oui !).

Un dernier conseil : ne laissez jamais trainer le moindre objet de valeur hors de votre chambre… il ne tiendra pas une minute à sa place (ca sent le vécu, je sais. Mon IPod y est passé… paix à son âme !)

1 comment:

père said...

Bon, ilvat mieux que ce soit ton I pod qui y soit passé plutôt que ton "photopareil"...
Envoie nous une carte retraçant tes périgrinations, j'm'y perd un peu.
As(tu récupéré de ton angine ?
Montréal, c'était très bien!
Bises