Wednesday 30 July 2008

Le 31 est reporté


Bonjour à tous,

Le gouvernement Australien vient de publier le communiqué suivant :

Vu le temps et l’état actuel de l’économie mondiale, il est décidé qu’il sera procédé à l’ajustement calendaire suivant : le 31 juillet 2008 est inversé avec le 31 août 2008.

En conséquence, demain nous seront le 31 août 2008, ca m’embête un peu, j’ai rendez vous chez mon dentiste…et je suis aux antipodes !

A bientôt pour de nouvelles aventures…


Tuesday 29 July 2008

Le prochain...

Le prochain qui me dit que l’Australie c’est le désert, je le lâche avec une boussole et une ration de survie en plein dans le Royal National Park et je crois qu’il va retirer ce qu’il a dis, non mais !

Déjà, rien que dans le train qui l’emmène à Otford, il va comprendre qu’il est ridicule devant cette immensité de verdure.

De PH5 selection...

Il va se trouver nu face à la beauté de l’océan.

Il va être désemparé par l’immensité des remparts qui le protègent des fureurs du Pacifique et bluffé par les forces du tectonique qui ont forgé ces marches.

Il va se sentir déboussolé par la complexité de la flore


Il va se sentir seul sur la plus belles des plages.

L’Australie, ce n’est pas rien, c’est Tout. Du chaud, de la neige. De l’immensité, de la promiscuité. L’Australie, c’est l’extrême.

A bon entendeur, salut !


Le monde à l'envers

Comment un Français se représente mentalement l’Australie ?

Voyez plutôt :


C’est vrai :

Ici, pas de décathlon (et donc pas de tentes 2’’, ni de sacs « queue de chat »)

Ici, ils conduisent à gauche (Chauffards)

Ici, ils respectent les feux rouges (sérieux ???)

Ici, ils sont propres (heu, au fait, c’est quoi une ville propre ??)

Ici, ils sont cool (Bha moi aussi ch’ui cool, sauf au volant, quand je travaille, ha, le WE aussi faut pas m’em****, mais si non je suis cool)

Ici, etc…

Bref, un peu l’inverse quoi …

Monday 28 July 2008

En attendant la suite:


En attendant la suite de mes aventures antipodesques (j'ai du retard, désolé), je vous livre la plus belle vue de Sydney (selon moi)...Enjoy!

Sunday 27 July 2008

Nouveau but: HOBART

Vu que la migration de backpacker va vers le nord, en quete de chaud, je me tate a faire l`inverse: Tenter ma Sydney-Hobart, direction le cercle Arctique, et la tranquilite!!

Voici la possible cible: Tasmanie!!


View Larger Map

Friday 25 July 2008

Brancardier à St Vincent' Private hospital, Sydney

L’histoire commence mardi matin, rendez-vous avec la DRH de l’hôpital.

Passeport ?

TFN (Tax File Number, numéro pour les taxes) ?

Vaccins ?

Lettre de recommandation ? pardon ?!*ù^$s ??? Alors la je suis bluffé par les Australiens ! Moi qui pensait que les lettres de recommandations n’étaient faites que pour les entrées à l’internat… non ici à l’autre bout du monde, un bonne lettre de recommandation vaut plus qu’un diplôme de science po avec mention « toutes les ficèles de caleçon du jury. »

Bon passé cela, l’attente dure…

Jeudi, convocation pour training ! Donc découverte du lieu de travail : 700 lits. Un « bloc » entier dans la ville. Une flopée de praticiens. 10 étages.

Le job en lui-même : le même qu’en France, sauf qu’ici nous n’avons plus aucun contact avec les blocs (snif…). En plus d’être brancardiers, nous sommes les aides soignants aux « gros bras ». Spécialistes des relevages d’urgence en gériatrie, de l’aide à la satisfaction de besoin physiologiques de personnes obèses, de la préparation pré-op du patient, et j’en passe…

Bref, le champ d’activité est plus vaste !

Vendredi, au boulot !

J’ai donc eu mes premières mission effectives (ici tout se fait par bip, le pager, une sorte de portable dédié uniquement aux textos). Je me baladais donc dans l’hôpital en tenue réglementaire (c'est-à-dire : pantalon à pinces et polo…british quoi !) avec mon petit badge électronique…bref sympa !

Heureusement que mon anglais n’est pas trop pitoyable, parce que c’est toujours un peu chaud de travailler dans une langue étrangère…

Je m’excuse pour le manque de photos qui normalement agrémentent mon blog, mais je ne puis en publier beaucoup, confidentialité oblige. (Et aussi parce que ma mitrailleuse n’est pas très discrète)

Wednesday 23 July 2008

Backpacker

Je profite de mon « congé maladie » pour vous donner un petit aperçu de ce qu’est un « backpacker. »

Le nom backpacker est dérivé du mot backpack, littéralement, paquet sur le dos, ou plus clairement, sac à dos. Donc backpacker a désigné le voyageur se promenant avec juste un sac à dos. Puis il a été étendu aux hôtels accueillant ces derniers : les backpackers.

Un backpacker (le parles dorénavant de l’hôtel) est généralement une ancienne maison reconvertie en hôtel. On peut y louer soit des chambres ou des dortoirs. La dedans, pas de restaurant ; les voyageurs disposent d’une cuisine commune (toute équipée, lorsqu’il n’y a pas de pannes). Les douches aussi sont communes (sauf pour les rares « suites » grand luxe).

Le backpacker peut être plus ou moins luxueux ou sympathique : la gamme va du backpacker truffé aux cafards version dortoir ambiance polaire au backpacker propret et sypathosh proposant certaines animations et commodités.

Perso, j’ai opté pour la seconde version. L’original backpacker propose tous les soirs des animations (souvent des sorties dans des bars) et met à dispositions des machines à laver (moyennant rétribution), et divers autres choses (coffre fort, fer à repasser, panneaux de jobs, etc…)

Le backpacker est (pour le mien) constitué de deux population : les voyageurs (les vrais, qui ne restent la que pour une semaine max) et les sédentaires (ceux qui ont fait du bakpacker leur seconde maison, catégorie à laquelle je tends à appartenir, malgré ma réticence…). Cette seconde catégorie se connait bien (le plus ancien à 4 mois à son actif…) et forme une bonne bande de potes.

En revanche le backpacker n’est absolument pas l’endroit ou l’on rencontrera un australien. Dans ces hôtels, l’australien se fait rare. Si vous souhaitez en découvrir, fuyez ces endroits, bourrés de porteurs de passeports (en majorité français, anglais et allemands… hé oui !).

Un dernier conseil : ne laissez jamais trainer le moindre objet de valeur hors de votre chambre… il ne tiendra pas une minute à sa place (ca sent le vécu, je sais. Mon IPod y est passé… paix à son âme !)

Tuesday 22 July 2008

Je suis malaaaade, complètement maladeeee...

Bon, bha, voila, je suis malade!

Une bonne angine, donc je prends les grands moyens, surtout que je vais bientot commencer à bosser (encore à St Vincent! Décidément, on n'arrête pas!).



Donc, avec tout ca, je ne profite pas des soirées, ni des journées d'ailleurs... bref un peu la loose. Mais bon, bonne humeur quand même.

A bientôt pour de nouvelles aventures!

Sunday 20 July 2008

Volontaire aux journées mondiales de la jeunesse


Qu'ai-je à dire, qu'ai-je à raconter ?

Je commence par l'essentiel : j'étais venu chercher Dieu. Sa réponse a été sans ambigüité. « Si tu me cherche avec ton cœur, je me laisserai me trouver. » (Je n'ai plus les références de la citation, je sais juste que c'est dans un livre commençant par J).

Je continue donc à chercher, mais avec plus d'avidité et d'assiduité. Ce regain de motivation est du à l'intense bonheur alors de ces journées mondiales de la jeunesse.

Je continue donc par ce qui n'est pas essentiel…

Je suis en Australie pour clore un cycle de service auprès de l'Eglise. J'étais Grand Clerc, j'ai donc été bénévole aux JMJ.

Je m'attendais à un travail démentiel. En fait ma mission n'était que de me mettre à disposition des pèlerins. (Renseigner, diriger, protéger, essentiellement). Mes horaires étant plutôt bien conçus, j'ai pu squatter les catéchèses dirigées par la communauté de l'Emmanuel, (que je remercie chaleureusement pour son accueil).


De PH4 selection...

Donc Lundi soir je me mets en route pour le lieu ou je dois dormir. Je ne connais ni l'adresse, ni si j'y serai accepté. Finalement, je trouve asses facilement le lieu : je suis logé au sein du parc olympique, dans un gymnase.

Ensuite, viens le tour de ma mission. La aussi mon inquiétude était injustifiée, je trouve rapidement le lieu. Je suis affecté à une équipe très sympathique. Mardi matin, pour la messe d'ouverture nous sommes plutôt mal placés, mais bon, on suit la messe vaille que vaille.


Le lendemain, Monseigneur Jacques Blacard, évêque auxiliaire de Bordeaux nous donne une conférence sur le thème de l'Esprit saint. On se représente souvent la trinité comme une division (Dieu, Jésus et l'Esprit Saint, chacun de leur côté). En fait, Dieu est unité, l'Esprit Saint n'est rien d'autre que l'amour de Dieu.


Jeudi matin, Monseigneur Léonard, évêque de Namur donne une cathéchèse sur le thème « Esprit Saint, âme de l'Eglise. » L'Esprit Saint étant l'amour personnel de Dieu répandu sur les hommes, les hommes composant l'Eglise, on en conclu que l'Esprit Saint est le ciment –et donc l'âme- de l'Eglise.


L'après midi Je me rends à Barangaroo pour l'arrivée officielle du Pape aux JMJ. Je profite de mon pass bénévole pour me glisser dans la foule et me retrouve on ne peut plus près de la scène. J'assiste donc à l'arrivée magistrale de sa sainteté Benoit XVI.


Plus qu'une foule rassemblée devant un grand dignitaire, j'ai ressenti le rassemblement d'une fraction de l'Eglise devant celui qu'elle a élu.


Vendredi matin, Monseigneur Boulanger, évêque d'Alançon et Sée nous a montré comment l'Esprit Saint est protagoniste de la mission qui nous envoie dans le monde, pour répandre l'Amour de Dieu.

Conformément à la tradition, le chemin de croix s'est tenu vendredi, et de ma zone j'ai pu suivre correctement –et avec beaucoup d'émotion- cet événement. Certains lui ont reproché sa trop grande mise en scène (un peu à l'américaine), j'ai pensé que ce chemin de croix a été très bien conçu d'un point de vu théologique, grâce au livret.


Suivait une soirée concert avec des groupes rock catho (ici ces deux mots ne sont pas antinomiques). Le clou de la soirée a été l'adoration.


Samedi matin, je retrouve le groupe de l'Emmanuel pour une matinée de louanges avant de partir pour le pèlerinage menant à l'hippodrome de Randwick.

Nous arrivons en début d'après midi dans le secteur A2.
Nous sommes parmi les mieux placés.

La soirée est composée d'une veillée avec le Saint Père d'une adoration et de concerts (donc celui de la PriestBand). Durant toute la nuit ont été proposées des adorations sans compter les différents groupes de prière spontanés ou animations musicales impromptues.



Le dimanche matin, j'étais sensé me réveiller à 5h pour prendre mon service à 5h30. 8h, j'ouvre un œil, consulte ma montre…zut, raté ! Sachant que nous étions en surnombre pour cette cérémonie, je décide de rester à ma place pour assister à la messe (j'ai su qu'en fait ils avaient besoin de main d'œuvre…je sais : il faut finir ;-))


La messe de clôture a été l'événement ayant rassemblé le plus de monde depuis toujours en Océanie : je suppose qu'il y avait plus de 500.000 pèlerins ! Ce qui m'a le plus touché cette cérémonie a été le bruit d'une foule aussi dense : un silence des plus recueillis.

Aller, Madrid 2011, Promis !



Ma très sympathique équipe:


N'hésitez pas à visiter mon album web!


A bientot pour de nouvelles aventures!

Clément Cousin

E-mail: clement.cousin@gmail.com

Blog: http://openmindedworld.blogspot.com/

2 rue Yvonnick Laurent

35200 Rennes

FRANCE

Phone : +33 (0) 673 097 622

Tel/Fax: +33 (0) 256 512 310

160-162 Victoria St

Sydney 2000

AUSTRALIA

Mobile: +614 1600 7337

Monday 14 July 2008

Vegemite

Connaissez-vous la Vegemite ? Non ? tant mieux ! Gustativement parlant, la Vegimite est une pâte consistante (cela se rapproche un peu du Nutella) de couleur brun foncée. Elle est composée –outre les colorants, conservateurs et autres substances chimiques- d’une collection d’épices.


Le résultat ? Un succès fou auprès des pupilles australiennes, et un gout des plus singuliers (les européens –Britanniques exclus, cela va sans dire- qualifient ce gout de déplaisant).


A ne pas tester au moins une fois dans sa vie !

Histoire et civilisation ou comment le passé influe sur les modes de vie

La plus grande différence entre toute ville australienne et toute ville européenne est l’âge de ses pavés. A Sydney, pas une pierre n’a eu l’honneur d’atteindre le double centenaire.

On peut penser que les conséquences sont minimes, à bien y regarder, il n’en est rien.

D’un point de vue pratique, il faut remarquer que la ville moderne est adaptée à son usage (grandes rues, trottoirs conséquents, transports en commun corrects) tandis que la ville ancienne est dépassée (pavés déchaussés, rues étroites, transports obsolètes).

D’un point de vue psychologique la ville australienne regarde vers l’avant, en quête d’histoire, la ville européenne regarde vers l’histoire, comme pour mieux la conserver. Je ici trouve un dynamisme que nous n’avons pas (la vie est permanente, le chômage inexistant, il y a une grande ouverture d’esprit, etc.)

Australian Pools

En bon nageur, je me suis mis en tête de visiter les piscines de Sydney. J’en ai pour l’instant « fait » deux (seulement, hé oui, l’entrée n’est pas des plus abordables…à mon grand désarroi).

 

Ce qui m’a frappé, non ce n’est pas la beauté des bassins (un bassin est un bassin), mais le peu d’hygiène qui y règne. Je m’explique. En France, il ne nous viendra pas à l’idée de marcher au bord du bac en chaussures de ville, il nous est naturel de nous déchausser, de se tremper les pieds (et parfois le pantalon) dans le pédiluve avant de risquer de glisser sur les bords du bassin.
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L’australien, lui, ne s’est pas compliqué la vie. Pourquoi enlever les chaussures ? Pourquoi prendre une douche ?

Aller, tous en chaussures sur le bord !

 

En Bref : les piscines Australiennes sont des nids de champions, mais aussi de champignons.

 

Amis nageurs, estimons-nous heureux !

 

Clément Cousin

2 rue Yvonnick Laurent

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clément.cousin@gmail.com

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Fitness et dépense énergétique

A Sydney, on peut tout manger, à toute heure. Mais au final, pour l'Australien, on ne mange rien de bien. D'après mes constats, l'australien moyen mange beaucoup et n'importe comment. Cependant, il reste svelte.

Son secret ? Le surf, perdu ! c'est le fitness.

Ici les clubs de fitness fleurissent. Ce sont des salles ou se réunissent en soirée les sydneysiders (habitants de Sydney). Sous l'œil attentif d'un superviseur et suivant le rythme dicté par leur IPod (malgré le turboson ambiant) et les yeux rivés sur la multitude d'écran diffusant MTv, chacun dépense ses calories.

Fini les clubs de sports ou, dans une ambiance conviviale, l'ensemble du corps (et avec l'esprit) étaient sollicités. Maintenant chaque muscle est traité cliniquement et indépendamment des autres dans une ambiance individualiste.

Un brin affligeant.


Wednesday 9 July 2008

Windsor

Bonjour a tous!

Les premiers colons Anglais arriverent en Australie a Sydney. Puis ils entrerent dans les terres pour cultiver de quoi subsiter. Leur premier etablissement fut a Windsor, d ou je vous ecris.
Las de Sydney et souhaitant me reposer un peu, j ai profite du systeme WOOF (merci Brunehilde). Le principe est simple : une ferme me loge et me nourris en echange de quoi je file un coup de main.
Je travaille dans une ferme dont l activite est de permettre un repos a des chevaux de competition (certains vont aux JO!).
Je decrotte donc les ecuries, je nourris les chevaux, bref la vraie vie d un garcon de ferme dans le Bush.
Le cadre est vraiement ideal malgre le froid (hier matin, 3deg, je pense que si j en ai les moyens je vais aller dans le nord au chaud...hummm).

Donc pour l instant repos et preparation JMJ.

Je n ecris pas beaucoup, pas d ADSL ici...

Friday 4 July 2008

Diverses photos

RDV à l'adresse ci après:

PH2 selection Blog


ou

http://picasaweb.google.fr/clement.cousin/PH2SelectionBlog

A bientot pour de nouvelles aventures!

Wednesday 2 July 2008

NEWS

Entre Bangkok et Sydney, surement le 1er juillet…

J’arrive à Charles de gaulle avec deux heures d’avance. Un petit reportage s’impose donc. Je me faufile par les sous sols et je découvre une des attractions de cet aéroport : la gare des taxis.


Au sein de cette gare les taxis attendent leurs clients et peuvent être –à l’heure de pointe– plus de 7000…

Je pensais profiter du Paris-Doubaï pour commencer à rattraper mon sommeil, mais c’était sans compter avec mes sympathiques voisins australiens (moins de chance sur le Doubaï-Sydney) avec qui l’on a beaucoup causé, décidément les Australians sont vraiment sympathiques.

Arrivée à Doubaï. Doubaï est comparable à Babylone, version bazar organisé. Un terminal de forme oblongue et de couleur anis poussiéreux, pour l’instant unique, abrite plus de 60 portes, qui toutes fonctionnent à plein régime, déversant en son sein un flot bigarré de passagers.


Ce terminal est en très nette surcapacité, il devient difficile d’y circuler pour les golfettes, nécessaires pour se déplacer tellement le terminal est grand.

L’architecture est fidèle au bon gout doubailli : moquettes cramoisies aux motifs incertains, lustres et décorations mordorées, soucoupes volantes clignotantes au plafond, etc.



Bangkok est un terminal tout aussi fou d’un point de vue architectural, quoique moins animé (peu être est-ce du à l’horaire de départ). Cependant son architecture est d’un gout moins douteux que celui de Doubaï, le roi veillant au respect du bon gout.


Pour les connaisseurs du documentaire La perche du Nil, Emirates (ma compagnie) propose au lunch a Backed Nile perch.
A croire qu’ils font du fret aérien et que Doubaï est impliqué dans le commerce d’armes…


Sydney, le jeudi 3 juillet.

Nouvelles de l’autre bout de la terre

A peine arrivé et déjà dans le bain « backpacker ». C'est-à-dire que je suis avec tous les étrangers qui viennent en France pour profiter un peu de l’Australie.
Je loge à l’original Backpacker. Dans ma chambre, nous sommes 5, tous français (our room is known as the « french connexion room ».)

La première journée à été consacrée à une prise de possession du territoire. Sur la carte, l’aire de jeu parait immense. En fait, on peu traverser Sydney de part en part en ¾ d’heure à pieds.

La ville se compose de la « City » et des « surburbs » (ou je suis).

Un petit aperçu de la city :




L’original Backpaker :


Point crucial et archi connu : the Sydney opera house :



Bon, et comme pour vivre il faut manger et pour manger il faut des sous, j’ai commencé à faire les démarches administratives nécessaires pour trouver un job.
Il faut :
• Avoir le working holiday visa (aller pour cela à l’immigration building, 160 Lee St)
• Avoir un Tax File Number (aller pour cela au Tax File Office, west Georges St, l’office est quasi introuvable…)
• Avoir un Mobile (pour cela pas 3 solution : acheter un Vodaphone mobile, 56 $, basique mais indestructible)
• Avoir un compte local (pour les jobs pas au black, il faut juste un deposit de 50$)
• Ensuite, reste plus qu’a se débrouiller pour trouver du job (ce que je fais ce matin après mon ouverture de compte)

Bon l’autre problème du français qui débarque : le décalage horreur !
L’avantage c’est que l’on est levé tôt, et que tôt la lumière est très intéressante ! Jugez plutôt :






Vu que l’on est l’hiver ici (Grrr… parfois) on a le droit à un feu d’artifice de couleurs, même le soir !




By the way, je vous donne mon numéro local :
0011 614 1600 7337

A bientôt pour de nouvelles aventures!