Wednesday 2 July 2008

NEWS

Entre Bangkok et Sydney, surement le 1er juillet…

J’arrive à Charles de gaulle avec deux heures d’avance. Un petit reportage s’impose donc. Je me faufile par les sous sols et je découvre une des attractions de cet aéroport : la gare des taxis.


Au sein de cette gare les taxis attendent leurs clients et peuvent être –à l’heure de pointe– plus de 7000…

Je pensais profiter du Paris-Doubaï pour commencer à rattraper mon sommeil, mais c’était sans compter avec mes sympathiques voisins australiens (moins de chance sur le Doubaï-Sydney) avec qui l’on a beaucoup causé, décidément les Australians sont vraiment sympathiques.

Arrivée à Doubaï. Doubaï est comparable à Babylone, version bazar organisé. Un terminal de forme oblongue et de couleur anis poussiéreux, pour l’instant unique, abrite plus de 60 portes, qui toutes fonctionnent à plein régime, déversant en son sein un flot bigarré de passagers.


Ce terminal est en très nette surcapacité, il devient difficile d’y circuler pour les golfettes, nécessaires pour se déplacer tellement le terminal est grand.

L’architecture est fidèle au bon gout doubailli : moquettes cramoisies aux motifs incertains, lustres et décorations mordorées, soucoupes volantes clignotantes au plafond, etc.



Bangkok est un terminal tout aussi fou d’un point de vue architectural, quoique moins animé (peu être est-ce du à l’horaire de départ). Cependant son architecture est d’un gout moins douteux que celui de Doubaï, le roi veillant au respect du bon gout.


Pour les connaisseurs du documentaire La perche du Nil, Emirates (ma compagnie) propose au lunch a Backed Nile perch.
A croire qu’ils font du fret aérien et que Doubaï est impliqué dans le commerce d’armes…


Sydney, le jeudi 3 juillet.

Nouvelles de l’autre bout de la terre

A peine arrivé et déjà dans le bain « backpacker ». C'est-à-dire que je suis avec tous les étrangers qui viennent en France pour profiter un peu de l’Australie.
Je loge à l’original Backpacker. Dans ma chambre, nous sommes 5, tous français (our room is known as the « french connexion room ».)

La première journée à été consacrée à une prise de possession du territoire. Sur la carte, l’aire de jeu parait immense. En fait, on peu traverser Sydney de part en part en ¾ d’heure à pieds.

La ville se compose de la « City » et des « surburbs » (ou je suis).

Un petit aperçu de la city :




L’original Backpaker :


Point crucial et archi connu : the Sydney opera house :



Bon, et comme pour vivre il faut manger et pour manger il faut des sous, j’ai commencé à faire les démarches administratives nécessaires pour trouver un job.
Il faut :
• Avoir le working holiday visa (aller pour cela à l’immigration building, 160 Lee St)
• Avoir un Tax File Number (aller pour cela au Tax File Office, west Georges St, l’office est quasi introuvable…)
• Avoir un Mobile (pour cela pas 3 solution : acheter un Vodaphone mobile, 56 $, basique mais indestructible)
• Avoir un compte local (pour les jobs pas au black, il faut juste un deposit de 50$)
• Ensuite, reste plus qu’a se débrouiller pour trouver du job (ce que je fais ce matin après mon ouverture de compte)

Bon l’autre problème du français qui débarque : le décalage horreur !
L’avantage c’est que l’on est levé tôt, et que tôt la lumière est très intéressante ! Jugez plutôt :






Vu que l’on est l’hiver ici (Grrr… parfois) on a le droit à un feu d’artifice de couleurs, même le soir !




By the way, je vous donne mon numéro local :
0011 614 1600 7337

A bientôt pour de nouvelles aventures!

2 comments:

mère said...

Ouahou......c'est beau !
Et les requins avec qui tu as fait connaissance quand tu avais 5 ans, tu es retourné les voir ?
Bisous mon klem
Abominable mère

Méghann said...

Ouah magnifiques photos!!
Je n'étais pas encore venue sur ton blog (peu de temps sur internet) mais je ne suis pas déçue!!

J'espère que tout se passe comme tu veux!, veinard ^^
Pleins de bisous
Je continue la visite...